La phobie de conduire

La phobie de conduire : cette peur qui nous prive de liberté

Dans nos sociétés où les déplacements en voiture sont le plus souvent indispensables, la phobie de conduire (Amaxophobie) est une peur bien plus fréquente que nous ne le pensons.

Celle-ci peut toucher tout un chacun, que l’on ait 25 ou 65 ans, que l’on soit une femme ou un homme. Elle peut apparaître brutalement, ou bien s’installer au fil du temps ou encore faire partie de notre vie, dès nos premières expériences de conduite.

Elle peut aussi se déclencher après des années de conduite sereine, sans raison apparente ou bien survenir après un accident, ou même un événement que l’on ne relie pas forcement, a priori, à la difficulté de conduire.

Une phobie qui isole et qui met à mal notre confiance en nous.

Quelquefois cachée à notre entourage, elle limite considérablement nos déplacements et plus largement notre liberté d’être et d’agir à notre guise.
Véritablement handicapante lorsqu’il s’agit de rejoindre notre lieu de travail, de se rendre à un entretien professionnel ou tout simplement amener les enfants à l’école.
Et si elle s’installe dans le temps, elle a souvent un impact important sur notre confiance en nous.

Une phobie qui peut prendre plusieurs formes :

En effet la phobie de conduire peut revêtir des formes extrêmement diverses.
Ces peurs sont spécifiques à chacun et peuvent se matérialiser par une incapacité à monter dans un véhicule, à rouler sur certains types de routes (nationale, rocades, autoroutes, voies rapides) ou encore à passer sur ou à proximité de certains ouvrages d’art (ponts, échangeurs, …) que l’on soit seul ou accompagné. Et cette liste n’est malheureusement pas exhaustive.
Ces peurs se manifestent par des comportements propres à chacun, qui peuvent aller d’un inconfort tenace à la crise d’angoisse qui nécessite un arrêt sur le bord de la route.

Pourquoi utiliser l’hypnose ?

Comme toutes les phobies, l’amaxaphobie est une peur irrationnelle. Cela a donc à voir avec nos émotions (négatives).
En hypnose nous agissons sur les émotions qui nous emportent et nous font avoir un comportement dont nous ne voulons plus. 
L’objectif est ici de retrouver notre capacité à être nous-même, apaisé et serein.
Un travail sur une phobie, nécessite généralement 3 séances espacées chacune d'un mois.

Phobie de la conduite, peur de conduire

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En 2021 je suis devenue maman pour la première fois. En même temps, j’ai perdu la mienne. Cette première grossesse aura donc été assez traumatisante, médicalisée, nous nous sommes donc complètement laissé guider par le corps médical. En 2022 je retombe enceinte. Cette fois-ci nous voulons vivre cette grossesse à fond. J’ai très peur de l’accouchement, de la péridurale que j’ai détesté…On me parle d’Alexandra Del Pozzo. Miracle ! Je ne peux que dire du bien d’Alexandra. Grâce à elle j’ai réussi à trouver du temps pour moi, tous les jours, pour me détendre. J’ai réussi enfin à lâcher prise. Elle nous a fais découvrir le bonheur d’un accouchement physiologique. Moi, Camille, peur de l’accouchement depuis toujours, accoucher naturellement ??! Mais bien sûr !! Cette grossesse s’est déroulé sereinement, rien à voir avec la première. Et l’accouchement? Un rêve ! Plus de 25h de travail ! C’est long, intense, puissant. Une péridurale demandée à 22h de travail ? Et alors ! C’est MON choix et j’ai quand même plané sur mes 22h de travail sans péri ! Bain, relaxation, massage, la voix d’Alexandra m’aura guidé tout le long une péri posée parfaitement, j’étais libre de bouger, mais sans pressions. J’ai tout senti, je n’ai pas eu besoin de pousser, mon bébé à tout simplement glissé… a trouvé le sein tout seul en rampant sur moi… un bonheur Pour tout le reste nous avions enfin osé dire non ! Mettre mon bébé sous une lampe pour réguler sa température ? NON ! Je fais du peau à peau mais merci ! Le bain le lendemain matin ? NON laissez nous c’est 8h du mat et là on kiffe avec notre bébé plein de vernix Habiller mon bébé en sortant de la salle d’accouchement ? NON, toujours en peau a peau mais essayez encore Je garde un souvenir inoubliable de ce jour. J’ai été tellement sereine, je ne me suis crispée à aucun moment. C’était fort, certes, mais le fait de ne pas avoir grimacer une seule fois en accompagnant ces vagues, a fait que le seul souvenir que je garde de cette journée, sera ma puissance absolue pour accueillir mon deuxième fils . Encore merci, du fond du Coeur. Camille

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